Imaginez que Freddie Mercury ait été bercé par Metallica ?
Imaginez Another one bites the dust ou Fat Bottom Girls joués avec fureur et grande vélocité…
Imaginez John Deacon ayant opté pour un son de basse plus proche d’iron Maiden ?
Imaginez encore plus de disto sur la guitare de Brian May et sa tête secouant ses boucles brunes avec frénésie. Imaginez Roger Taylor avec une double grosse caisse…
Vous écoutez KING !
C’est le parti pris par ce groupe de musiciens professionnels tous ultra fans de ce monument du rock n’roll des années 70/80.
Loin d’être une copie KING est une véritable adaptation : c’est ce que Queen aurait pu être si ils avaient fait surface 15 ans plus tard.
Une formule qui fonctionne.
L’énergie du groupe est tellement communicative que les têtes se secouent et les refrains sont scandés naturellement.
KING n’a pas son pareil pour embraser les publics, des plus jeunes au plus âgés en passant par les inconditionnels et les exigeants.
Le public de fans retrouve ce qu’il adore et les mélomanes s’étonnent de ces versions endiablées.